Pierre n’est pas du même avis : certes « tout n’était pas à jeter », « certains profs étaient passionnés et passionnants, mais d’autres… une sorte de bouillie intellectuelle, de médiocrité, d’ennui ». Elle aurait quand même pu se fatiguer un peut, comme moi je l'ai fait, pour répondre aux arguments que j'utilise dans ma critique et appuyer ainsi son propos. ), les manuels d'histoire et les cours au lycée. Et alors sa bêtise m'a fait envisager qu'elle aurait du mal. Les petits boulots à la con, la plupart de mes amis et moi ont en a (eu) notre part aussi. Bon, je prépare Sciences Po et il paraît que je ne suis pas le seul. Mr Pinosa peintures et encres, c'est un pôte. Je te donnais le lien vers mon blog juste parce qu'on a quelque part une communauté d'idée. » C’est une rencontre avec un professeur du conservatoire de Berlin qui a décidé Pierre à partir rapidement. A t'on le droit d'insulter les gens sur internet ? Merde. Pour lui, « pas de vraie déception » de Sciences Po : il y est allé après avoir été refusé dans l’université anglaise une première fois. 17 ans. En lisant vos inepties, cher 'blogger' (parce que je pense que c'est ce qu'on dit dans le langage cybernético-branchouillé), je me rends compte de la véracité profonde de ce que disait mon enseignante sur les ondes.Parce qu'en effet, "si peu de compréhension de base", c’est consternant. Je m'explique. refais-nous un commentaire, c'est si bon de savoir que même la base on l'a pas compris, et puis un cours d'éco de DSK, hein ! Il en faut du pue dans le cerveau pour écrire autant de connerie.Je crois que Bourdieu disais de certaines élites qu'elles étaient suffisantes et insuffisantes. Un livre de 1995 ! Alors retenez vous un peut sinon des messages comme ça j'en aurai plus et se serait dommage de les rater... bon, j'avais pas l'intention d'en rajouter, vu que globalement je suis d'accord avec tout le monde. Il ne critique donc pas l’école, il a « simplement choisi la mauvaise école ». Que les individus qui critiquent science-po aille voir le contenu avant de le descendre (exceptés les anciens qui n'ont manifestement pas bien compris l'interet d'écouter ce que disent les conferenciers). Par exemple j'ai une copine diplômée qui passe le concours d'enseignante, histoire d'être fière de son boulot tout en ayant une situation stable. Pour lui, « pas de vraie déception » de Sciences Po : il y est allé après avoir été refusé dans l’université anglaise une première fois. D'abord, je rejoins les autres pour dire que ton blog est super bien foutu.Par contre allez-y mollo sur les formations "élitistes" ce sont des formations comme les autres avec le même pourcentage d'abrutis. bah en tous cas elle en aura pris pour son grade la misse Joëlle K. Appeler à l'humilité par l'orgueil c'est moyen...Mais je vais jouer l'avocat du diable: ça vous est jamais arrive de vous retrouver devant un disons gros raciste de base bien con bien bête bien beauf, et de vous dire qu'il avait un esprit misérable?bon ben là c'est ce qu'elle dit la dame, sauf qu'elle se croit vraiment dans l'élite et donc le nombre d'esprits misérables en-dessous d'elle devient gros au point de former la masse des gens.c'est pas si grave... Un livre très intéressant pour continuer à ne guère aimer Science Po (et l'ENA), mais avec un peu plus de recul : Alain Garrigou, Les élites contre la république, La Découverte. Nul besoin de faire dès la licence des études en communication ni en journalisme. Et bien étant donné la conjoncture actuelle il me semble qu'intégrer l'institut d'études politiques de Paris est une bonne solution pour survivre dans la vie "active"... Oui, je convient facilement que je ne suis pas d'un utopisme débordant mais au moment ou le chômage des jeunes passe la barre des 22.5 % il faut bien avouer que les 37 % de pré-recrutés et les 86 % d'employés 6 mois après leur sortie de l'école peuvent attirer de nombreux lycéens. N’est ce pas,euh ...Marie-Charlotte? Je ne veux pas faire de classement ni porter de jugement sur telle ou telle formation. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Ce n’est pas le diplôme qui fait le larron, mais l’intelligence.