: Les anecdotes de cinéma, CUBAN NETWORK d’Olivier Assayas : la critique du film, LA DERNIÈRE VIE DE SIMON de Léo Karmann : la critique du film, MISS de Ruben Alves : la critique du film, ADIEU LES CONS d'Albert Dupontel : la critique du film, ANTOINETTE DANS LES CÉVENNES de Caroline Vignal : la critique du film, PARENTS D'ELEVES de Noémie Saglio : la critique du film, THE GOOD CRIMINAL de Mark Williams : la critique du film, 30 JOURS MAX de Tarek Boudali : la critique du film, DRUNK de Thomas Vinterberg : la critique du film, MON COUSIN de Jan Kounen : la critique du film, RELIC de Natalie Erika James : l'avis de Fred, MON GRAND-PERE ET MOI de Tim Hill : la critique du film, BLACKBIRD de Roger Michell : la critique du film, BILLIE de James Erskine : la critique du film, ANTEBELLUM de Gerard Bush et Christopher Renz : l'avis de Fred, REMEMBER ME de Mark Rosete : la critique du film, ROCKS de Sarah Gavron : la critique du film, ADOLESCENTES de Sébastien Lifshitz : la critique du film, BLOOD MACHINES de Seth Ickerman : la critique du film, POLICE d'Anne Fontaine : la critique du film, ÉNORME de Sophie Letourneur : la critique du film, EMA de Pablo Larrain : la critique du film, PETIT PAYS d'Eric Barbier : la critique du film, UNE BARQUE SUR L'OCÉAN de Arnold de Parscau : la critique du film, LES NOUVEAUX MUTANTS de Josh Boone : la critique du film, EFFACER L'HISTORIQUE de Benoît Delépine et Gustav Kervern : la critique du film, NEVER RARELY SOMETIMES ALWAYS de Eliza Hittman : la critique du film, CONNECTÉS de Romuald Boulanger : la critique du film [Amazon prime], COMMENT JE SUIS DEVENU SUPER-HÉROS de Douglas Attal : la critique du film, CARGO de Arati Kadav : la critique du film, THE DOORMAN de Ryûhei Kitamura : la critique du film, BRONX d’Olivier Marchal : la critique du film [Netflix], L’HOMME DU PRÉSIDENT de Woo Min-ho : la critique du film, REBECCA de Ben Wheatley : la critique du film [Netflix], A propos / Nous contacter / Politique de confidentialité. Un parti pris qui morcelle le film et affaibli sa montée en puissance en brisant les codes du film d’enfermement. Père : Régis Roinsart Taille : 1h45 / Poids : NC CRITIQUE / AVIS FILM - Disponible sur Netflix depuis le 30 octobre, "Bronx" est un pur Marchal, ivre de testostérone, de violence et de tragédie policière. Nom : Les Traducteurs Mais malgré ces précautions, les dix premières pages du livre sont dévoilées sur Internet. Le scénario est ainsi très dense, et on sent que l'écriture et la construction de l'énigme ont été soignées, mais c'est peut-être là que le film en fait trop. Un pur Whodunit énigmatique où la réponse ne sera dévoilée que dans les toutes dernières minutes. Bronx : stop ou encore pour Olivier Marchal ? Huit ans que l’on attendait le retour de Régis Roinsard, cinéaste qui s’est révélé avec son premier long-métrage, l’apprécié Populaire avec Déborah François et Romain Duris. CRITIQUE / AVIS FILM - Parce que c'est rare, parce que c'est parfois brillant et toujours amusant, "Les Traducteurs" et son intrigue machiavélique proposent un vrai moment de cinéma, où le plaisir de se plonger dans le jeu de rôles et de pistes semble partagé autant par les comédiens que par les spectateurs. Peu de productions françaises ont cette ambition, ou alors l'ont mais sans mettre à disposition les ressources nécessaires. La Mondo-Note :. C'est ainsi le cas de plusieurs traducteurs, qui ont un temps et une identité plus réduits que d'autres. Un site. On se retrouve ainsi dans l'exercice délicieux mais difficile du narrateur non-fiable, c'est-à-dire aux mains d'un récit qui avance masqué. LES TRADUCTEURS : LA BELLE IVRESSE DES MENSONGES. L’éditeur se retrouve au coeur d’un chantage financier : il doit verser la somme de 5millions d’euros pour que le piratage cesse. Peine perdue, puisqu'un maître-chanteur fait fuiter les premières pages, et demande une rançon très conséquente pour ne pas continuer à révéler le manuscrit, attendu par des millions de lecteurs... Donc, qui est le coupable ? Bullet Proust. Il y a d’abord l’envie de signer un véritable dédale cinématographique, un thriller machiavélique où tout n’est qu’illusion et jeux de miroir, où il est impossible de prendre pour acquis chaque ligne de l’histoire. Majorité : 29 janvier 2020 Le coupable est forcément dans la pièce…. Car comme sur un échiquier, il faut sacrifier certaines pièces pour en faire avancer d'autres. La mise en scène joue ainsi avec différentes temporalités, et si l'enfermement dans le bunker est central, on verra aussi d'autres lieux. Onze traducteurs de différents pays sont réunis dans un bunker pour traduire dans le plus grand secret, le dernier tome d’une saga littéraire à succès. A commencer par des aller-retour incessant dans une prison où le personnage de l’éditeur fou incarné par le classieux Lambert Wilson échange avec le mystérieux « coupable » que l’on ne voit jamais, bien évidemment. Puis Les Traducteurs bascule et quitte définitivement son principe en virant au film de torture puis de vengeance. Your browser either doesn't support Javascript or you have it turned off. Et plus le film avance, plus son équilibre se trouve menacé par l'envie d'expliquer, de montrer, de proposer des pistes qui sont traitées également, fausses ou réelles. Le pitch ? Assez proche aussi des intrigues propres aux romans d'Agatha Christie, Les Traducteurs brille par une forme de démesure, qu'on remarque dès la découverte du casting. Qui aime le cinéma apprécie forcément de se faire balader, de se laisser guider dans une illusion jusqu'à y croire fermement. Carte d’identité : Nom: Les Traducteurs Père: Régis Roinsart Date de naissance: 2019 Majorité: 29 janvier 2020 Type : Sortie en salles Nationalité: France Taille: 1h45 / Poids: NC Genre: Thriller. Carte d’identité : Genre : Thriller, Livret de famille : Lambert Wilson, Olga Kurylenko, Riccardo Scamarcio, Eduardo Noriega, Sidse Babett Knudsen, Alex Lawther, Frédéric Chau, Sara Giraudeau, Patrick Bauchau…. Synopsis : Neuf traducteurs triés sur le volet sont confinés dans un luxueux bunker afin de traduire le dernier roman d’un auteur très connu en un temps record. Retrouvez Mondocine sur les réseaux sociaux, LES TRADUCTEURS de Régis Roinsart : la critique du film, Lambert Wilson, Olga Kurylenko, Riccardo Scamarcio, Eduardo Noriega, Sidse Babett Knudsen, Alex Lawther, Frédéric Chau, Sara Giraudeau, Patrick Bauchau…, Le saviez-vous ? Tous droits réservés. Un tel film, qui fera immanquablement penser au récent À couteaux tirés, au moins récent mais culte Usual Suspects, est une exception dans le paysage cinématographique français.