Ils ont été déportés en Nouvelle-Calédonie loin de leur terre natale entre 1864 et 1921. En réponse à votre question, il y a plusieurs "Petit" qui ont été déportés de la Commune à l'île des Pins. Sujet de l'oeuvre : Arrivée du premier convoi de rapatriement de communards déportés amnistiés, en gare d’Orléans le 3 septembre 1879 ; ... Les premiers déportés de Nouvelle-Calédonie amnistiés et rapatriés arrivent en France à la fin de l’été et à l’automne 1879. les gadas de guivry ci-dessous, la liste des deportes de la commune presents sur le blog http://deportesdelacommune.blogspot.com/, mise a jour le 25/03/2010: a archives et documentation sur les déportés (12) aab (1) abadie (1) abard (1) accard (1) adam (6) adamy (2) adet (1) adier (1) adnot (1) age (1) agier (1) agniel (1) agnus (1) agosti (1) aguilhon (1) aguillon (1) ajat (1) alamone (1) alary (1) … Depuis quelques semaines, donc, les registres matricules des bagnards sont ajoutés aux informations accessibles en ligne. Cette base de données rassemble les informations nominatives disponibles sur 41 375 personnes inculpées par la justice militaire et le Tribunal correctionnel de la Seine pour avoir participé à la Commune de Paris, à l’exclusion des mouvements communalistes de province. Elle est déportée , en Nouvelle Calédonie le 11 janvier 1873. Les communards de la révolte de Paris de 1871 subiront eux aussi le même sort, plus de 4200 seront déportés en Nouvelle-Calédonie et au moins 400 décéderont durant cette déportation. Les plus importants furent ceux de Guyane et de Nouvelle-Calédonie. Durant sa déportation elle s'intéressa aux coutumes des Canaques, les décrivit avec considération et s'occupa d'eux avec humanité. L'orthographe est donc incertaine 9me Convoi (arr. Toutefois quelques sources mentionnent le ralliement de soldats issus des troupes coloniales à la Garde nationale : “La Commune a aussi annoncé la reformation du corps des Zouaves de la République, qui iront se battre aux côtés des i… La Nouvelle-Calédonie, un archipel du Pacifique Sud, était depuis une vingtaine d'années territoire français où, tout comme en Guyane, il avait été mis en place une colonie pénitentiaire. Une centaine d'Algériens furent également déportés vers le Pacifique. L'insurrection de la Commune de Paris fut définitivement écrasée le 29 mai 1871. Algériens déportés en Nouvelle-Calédonie (avec listes nominatives) Les noms des déportés algériens entre 1874-1876 (archive Nettlau n° d'inv. Études Coloniales a publié, dès 2006, un article de Melica Ouennoughi, docteure en histoire et auteure d'un remarquable travail sur la déportation de condamnés maghrébins en Nouvelle-Calédonie, sur la reconstruction identitaire de cette communauté dans l'archipel océanien. C’est à l’occasion de recherches en archives qu’il a rencontré la figure de XXX, communard originaire d’une commune d’Ille-et-Vilaine et déporté en Nouvelle-Calédonie. L'objectif de colonisation pénale était officiellement de peupler la colonie de la Nouvelle-Calédonie et de "régénérer" les LISTES DES « algériens » TRANSPORTÉS, DÉPORTÉS ET RELÉGUÉS EN NOUVELLE-CALÉDONIE (1864-1921) Entre 1864 et 1921, 2106 « Arabes » pour reprendre la (…) Au total environ 5. Il s’est alors lancé dans un travail minutieux de recherches qui l’a conduit à écrire La Traversée et à rendre ainsi hommage à tous ceux qui se sont battus pour la Commune. Noms des déportés algériens. Le gouvernement de la jeune République Française, présidé par Monsieur Thiers, fit arrêter 36.309 personnes 2 et les déféra aux Conseils de guerre. Le 7ème convoi partit de l'île d'Aix le 10 août 1873, avec à bord notamment Henri Rochefort et Henri Messager, ainsi que 20 femmes dont Louise Michel, et arriva à Nouméa le 8 décempbre 1873, après 120 jours de mer. Noté /5. 16.08.1874) Loire, Déportation Simple La matinée a commencé sur les chapeaux de roues. Sous le terme « bagne », se confondent différents territoires, mais aussi différentes peines. Massacrés puis déportés en 1871, les communards sont amnistiés en 1880, avant que leurs réformes soient peu à peu adoptées. La Commune (Paris, 1871), partie 1 et partie 2, un film de Peter Watkins, 2000. Pierre Petit Hippolyte Petit Joseph Léon Petit Joseph Marie Petit Jules Léon Petit L. Petit dit "Lavigne" On estime à quelque 15 000 les descendants des déportés et des transportés qui continuent à vivre en Nouvelle-Calédonie. Parmi ceux-ci figurent les descendants de ces Algériens exilés à la « Nouvelle ». Ils utilisent le terme de « Vieux-Arabes » en parlant de leurs ancêtres. liste des déportés algériens. Retrouvez Communards en Nouvelle-Calédonie, Histoire de la déportation et des millions de livres en stock sur Amazon.fr. 3155*) NB Le noms ont été notés phonétiquement par le fonctionnaire du 'Commandant Territorial'. Le navire compte 205 hommes d'équipage, hommes de surveillance et religieuses, et 540 déportés, politiques et de droit commun, dont 24 femmes, toutes des condamnées de droits communs à l'exception, justement, de Marie Catherine Rogissart. Prévu pour 200 sépultures, 300 ont finalement été construites dans ce cimetière pour accueillir les dépouilles des victimes : communards, déportés kabyles, condamnés de droit commun, victimes du scorbut et déserteurs morts noyés dans le lagon. François.M93: LISTE DES NOMS DES PRISONNIERS AU BAGNE EN GUYANE MERCI Envoyé le: jeudi 24 … Melica OUENNOUGHI . La Nouvelle-Calédonie, un archipel du Pacifique Sud, était depuis une vingtaine d'années territoire français où, tout comme en Guyane, il avait été mis en place une colonie pénitentiaire. Selon le rapport Appert, au total 3846 Communards seront effectivement déportés. Tous n'arriveront pas en Nouvelle-Calédonie, car quelques uns décèderont lors du voyage et seront inhumésen mer, comme pour un marin. La majorité d'entre eux était constituée de prisonniers de droit commun envoyés dans des colonies pour purger leur peine. Ils ont été déportés par la France en Nouvelle-Calédonie entre 1864 et 1921. La majorité d'entre eux était constituée de prisonniers de droit commun envoyés dans des colonies pour purger leur peine. Environ 350 d'entre eux étaient des prisonniers politiques déportés et d'autres des relégués, c'est-à-dire des récidivistes. Cantate pour Louise Michel, un CD de Michèle Bernard, 2004. Si de nombreuses études ont documenté la participation et le soutien d’étrangers européens à l’insurrection et aux combats des Parisiens contre les Versaillais, la présence de combattants ou de personnalités arabes est moins connue et mériterait d’être approfondie. La répression commença aussitôt. De 1852 à 1953, plus de 100000 condamnés ont subi leur peine dans les bagnes coloniaux, principalement ceux de Guyane et de Nouvelle-Calédonie. En 1872, la Virginie est armée à Toulon et, sous les ordres du capitaine de frégate Launay, est utilisée pour le transport des forçats et déportés en Nouvelle-Calédonie (voir itinéraire (page 1, page 2, et carte d'Emile GIFFAUT). 33 3) Les Communards, par contre, envoyés pour la plupart en Nouvelle-Calédonie, sont classés, aussi bien pour les dossiers que pour les registres matricules, séparément des “transportés” ou condamnés de droit commun, sous la dénomination de “déportés”. Achetez neuf ou d'occasion Entre autres peines, qui s'échelonnaient de la peine de mort à la prison, on relevait 251 condamnatio… On n’a enregistré leur nom que par les témoignages écrits par d’autres communards, qui ont publié des récits de leur déportation après leur retour en France, ou par leur … Les étapes du transfert des forçats de leurs lieux de condamnation jusqu'à leurs colonies pénitentiaires les précipitent ainsi dans un déracinement qui connaît différents degrés d'intensité. Nous avons déjà étudié, dans les numéros 73 et 74 de la revue, deux artistes déportés communards en Nouvelle-Calédonie, mais ils furent plus nombreux, même si aujourd’hui ils sont tous quasiment inconnus. https://fr.wikipedia.org/wiki/Algériens_de_Nouvelle-Calédonie Emile GIFFAUT, communard, fut condamné en 1872 pour complicité d'incendie, à la peine des travaux forcés, à l'âge de 22 ans. Le premier convoi arriva le 29 septembre 1872 par la Danae. L’île comptait cinq villages de déportés, qui malheureusement pour certains, n’ont jamais rejoint la métropole. en Nouvelle-Calédonie, 1867-1895. Le bagne ne commence pas à l'arrivée de ses occupants en Guyane ou en Nouvelle-Calédonie, il commence dès le prononcé de la sentence sur le sol de la métropole. Ils avaient, eux, en ce moment même, commencé une guerre d'indépendance audacieuse contre l'occupant français, et avaient finalement dû … Une centaine d'Algériens furent également déportés vers le Pacifique. Découvrez sur decitre.fr De Paris à Nouméa - L'histoire des communards de la Commune de Paris déportés en Nouvelle-Calédonie par Hélène Duparc - Éditeur Orphie - Librairie Decitre Présenté ainsi, le livre de Roger Pérennès pourrait apparaitre comme une simple nomencla- ture, alors qu'il est beaucoup plus que cela. Selon le rapport Appert, il y eut 38 578 individus arrêtés . Tous n'arriveront pas en Nouvelle-Calédonie, car quelques uns décèderont lors du voyage et seront inhumésen mer, comme pour un De fait, dès leur entrée dans Paris, les troupes versaillaises ontfait quantité de prisonniers , aussitôt envoyés à Vers… Les plus illustres sont Henri Rochefort, … 9 Le 16 août 1876, le consul de France en Nouvelle-Galles du Sud, G. Eugène Simon informe le Gouverneur du Queensland, Sir Hercule Robinson, que les Communards déportés en Nouvelle-Calédonie ont été autorisés à rédiger et signer une pétition pour obtenir la commutation de leur peine et que 600 signatures ont été recueillies. Environ 350 d'entre eux étaient des prisonniers politiques déportés et d'autres des relégués, c'est-à-dire des récidivistes. Difficile de préciser le nombre exact des communards parmi les déportés, et encore moins de les identifier, car les sources manquent pour reconstituer la liste. Le 10ème convois partit de Brest le 29 août 1874 pour arriver à Nouméa le 4 janvier … On évalue à 14 000 celui des individus tués derrière les barricades ou fusillés après avoir été pris les armes à la main ». La Virginie effectua le transport des 7ème et 10ème convois de déportés vers la Nouvelle-Calédonie. Les algériens déportés en 1871 à la nouvelle Calédonie suite Communards en Nouvelle-Calédonie : histoire de la déportation, Jean Baronnet et Jean Chalou, Mercure de France, 1987. gageure de recenser "ensemble des Communards déportés et transportés en Nouvelle- Calédonie, au lendemain de la Commune, et de fournir leur liste par convoi. En effet réveil de bonne heure avec comme programme la visite des vestiges du Bagne de L’île des Pins mais aussi une grotte et une plage. La recherche intégrée au site se limite à la période antérieure à 1890.

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