Ce fut sa fille, il lui donna la rose et lui dit qu’il devait mourir, la jeune fille refusa, et insista pour mourir à sa place, le père lui avoua donc qu’il devait amener la première personne qu’il avait vu en rentrant, et c’était elle. En chemin il fut surpris par la tempête de neige, se perdit, transit de froid et affamé, il aperçut de la lumière dans un château, il amena le cheval dans l’écurie où se trouvait de l’avoine et entra dans le château. Dictionary; Book; Downloads; Articles; Essential Questions; Updates; Elsewhere; La Belle et la Bete. Ils se marièrent, la jeune fille garda son père près d’elle, et  pardonna à ses soeurs leur méchancetés, elle leur offrit un appartement à chacune dans le château, elles n’auraient plus besoin de travailler et vivront heureux. Le lendemain, la jeunette alla à la fontaine, attacha sa valise à la patte du corbeau et monta sur lui. Une méchante fée l’avait transformé ainsi jusqu’à ce qu’une fille accepte de l’épouser, elle lui avait interdit de paraître intelligent. L’aînée un jour alla puiser de l’eau à la fontaine et y trouva un corbeau. C’est alors qu’elle entendit les hurlements affreux du loup, elle sortit et vit le loup blanc, mort à ses pieds. La jeune fille lui cria alors de revenir, et qu’elle acceptait d’être sa femme. La bête lui demanda de rester à vie dans le château, mais la Belle lui dit qu’elle souhaitait revoir son père qui était très malade, elle avait suivit sa famille, ses soeurs étaient marié et ses frères étaient partis pour l’armée. La jeunette monta sur une chaise, pris le diamant et parti, la grand mère se réveilla et demanda aux portes et aux escaliers de se fermer et de ne pas la laisser passer, mais les portes heureuses d’avoir été huilées, les escaliers heureux d’être propre laissèrent passer la jeune fille. Elle comprit alors qu’elle n’avait rien à craindre de la Bête. Dans sa chambre, le marchand retrouva le coffre promis par la Bête, il ne confia ce secret qu’à la Belle qui lui conseilla de marier les deux aînées à deux prétendants qui venaient depuis son départ. by KE Monahan Huntley. Elle alla tout de même les voir. La jeune fille resta jusqu’au lendemain matin, mais en rentrant au château, elle ne vit plus la Bête. Trois mois après, l’homme voulut se remarier, il demanda à sa mère d’aller demander la main de la seconde fille de la fermière. La rentrée est passée, mon fils est au collège, son tout premier livre est “La belle et la bête” de Madame Leprince de Beaumont. là encore se trouvait d’autre escaliers qui n’avaient pas été balayés depuis 7 ans, elle les balaya retira les toiles d’araignées et arriva à la porte de la chambre de la grand mère. Cette dernière accepta de suite de l’épouser pour que son père recouvre la vue, le corbeau lui demanda de revenir le lendemain avec une valise et tout ce qu’il faut pour qu’elle se marie. Une autre fois, elle redemanda à la Bête de revenir voir sa famille, la bête lui donna le couvre feu de 23h. Le marchand qui ne souhaitait pas qu’une de ses filles meurent promis de revenir dans trois mois .La bête ne le fit pas partir les mains vide et lui offrit un grand coffre vide dans lequel le marchand pouvait y mettre tout ce qui lui plairait, la bête lui ferait porter chez lui. Le midi la Belle déjeuna seule en écoutant un concert, elle ne voyait personne, mais lors du repas du soir, la Bête lui demanda s’il pouvait la voir diner, La belle accepta. Lorsqu’elle se réveilla le lendemain, elle se trouva dans sa chambre chez son père, la bête lui ayant même fait transporter un coffre plein de robe d’or. C’est indémodable les contes d’autrefois, c’est beau et il y a toujours une morale qui aide les enfants à mieux comprendre le monde qui les entoure. La soeur cadette raconta à son père ce qui s’était passé, son père lui dit la même chose qu’à sa soeur aînée, la soeur refusa de l’épouser et amena donc sa plus jeune soeur au corbeau. Le dixième jour, elle rêva que la bête était dans le jardin et se laissait mourir de chagrin. La mère avait un peu honte, qui voudrait épouser son fils à tête de poulain? Peu importe, il en coupa une et du sang jaillit, et une bête apparu lui disant qu’il n’avait pas demander la permission pour prendre une rose. Elle l’entendit tout à coup, dans la rivière, il pleurait et voulait se noyer, car il pensait qu’elle ne reviendrait plus. Elles furent donc jalouses de voir la Belle aussi bien apprêtée (habillée). En haut de l’escalier se trouvait le château de la grand mère, les portes étaient fermées et n’avaient pas été huilé depuis 7 ans, elle les huila et les portes s’ouvrirent. La jeune fille rentra chez elle et raconta cette rencontre à son père, son père voulait retrouver la vue, mais voulait avant tout le bonheur de sa fille, il lui proposa donc de faire ce qu’elle voulait. Arrivé au château, un somptueux repas les attendaient, la Belle pensa que la bête voulait l’engraisser pour la manger. Leur pénitence était fini, ils firent alors un grand mariage. Lecture compréhension pour la 6ème – Conte. Elle ne vit personne de la journée et alla se coucher dans un beau lit douillet, en pleine nuit apparut la Bête, qui lui demanda de l’épouser, la jeune fille lui demanda un temps de réflexion. Les filles rentrèrent chez elles, leur père avait retrouvé la vue, elles préparèrent alors la valise de la plus jeune. L’homme partit avec le parrain et la marraine et l’enfant pour le faire baptiser. Au vieux château de Kerouez, en la commune de Longuivi-Plougras, vivait un riche seigneur, il eut un fils qui naquit avec une tête de poulain. Les jours passèrent, mais elle ne savait quoi répondre, alors elle lui du temps pour aller voir sa famille, la Bête accepta, mais lui donna l’ordre de rentrer à 9h. L’homme présenta sa première épouse, dit qu’il l’aimait toujours et devant l’assemblée médusée, il prit la main de sa femme et rentra chez lui, où ils vécurent heureux toute leur vie. Il demanda à ses filles ce qu’elles souhaitaient, l’aînée demanda une robe, la deuxième un corsage et la troisième une robe. Le père resta quelque jours et rentra chez lui, sa femme et ses filles s’inquiétèrent de ne plus voir la jeune fille. Il s’approcha d’elle comme pour l’embrasser, et lui coupa la tête. Le lendemain, les hommes du château, lui firent porter 50 charretées de fumier, à faire dans la journée. Les filles aînées heureuses, lui demandèrent de leur rapporter des habits, des objets luxueux, La Belle sachant que son père n’aurait pas autant d’argent pour acheter autant de chose, ne lui demanda qu’une rose, par peur que si elle ne demande rien, ses soeurs le lui reprochent en pensant qu’elle veut se distinguer. Il n’eut aucun mal à trouver les robes pour ses deux aînées, mais la rose était plus difficile à trouver, d’autant plus que tout les gens à qui il en parlait, pensaient à une blague. La pauvrette se mis à pleurer et remplis une charretée, puis se souvint de la recommandation du prince, elle dit alors “Courbasset, Courbasset, Assistats-me, siu plet!” .