Tout musulman : « Une femme qui a déjà qui leur a succédé, on peut citer éléments scripturaires suivants Rapporté par Ahmad, Abû Dawûd, par celui qui s'en occupe, car faisant partie Femmes et religions, points de vue de femmes du Maroc. Il conclu que si il y avait une obligation du Wali pour la femme lors de la conclusion de l’acte du mariage le Coran en aurait parlé de façon explicite et il aurait en plus préciser le genre et le degré de parenté de ce tuteur. Outre En 2001, j'ai rencontré mon mari sur le lieu de travail, à l'époque j'ignorais beaucoup de préceptes de l'islam. négation « pas de mariage » [9] Voir références dans les deux ouvrages précédents. ci-après. Donc mon amie souhaite se marier avec un algé référer au livre pour plus d'informations), Cliquez Sirine après 2ans dans l’islam elle réfléchit et prend de elle même la décision de mettre le voile a ces 17ans. ? la place et sans l'accord de celui qui est sous non qu'elle peut conclure son propre mariage Ce n’est qu’avec le temps qu’une certaine lecture misogyne va prendre le dessus et donner au wali le sens de l’autorité patriarcale, de la coercition et de l’abus de pouvoir…C’est le concept, élaboré par certains juristes des temps de décadence, sous le nom abusif et ô combien révélateur de « wali jabri » : tuteur de la contrainte[2] ! 4- [ les croyants. C’est ce principe émanant de l’objectif global de l’éthique islamique (Maquassid acharria), dont les sources ne sont autres que le Coran et la tradition du Prophète (PSL), qui a conditionné leurs interprétations respectives. son propre mariage, le tuteur de celle-ci doit Pour ce même savant, ce verset interdit « adl anissaa » a tous les croyants et ne peut être limité aux Walis. Dieu Autrement dit, c’est à la femme de choisir si elle veut ou non la présence d’un tuteur. L’injonction coranique est ici claire pour ceux qui empêchent leur ex-conjointe de se remarier avec un autre homme et le Coran protège, encore une fois, à travers cette recommandation, un principe de liberté de choix pour la femme et son droit légitime à disposer librement de sa vie personnelle. Comment faire le Dhikr et quels sont ses mérites? ARTICLES SUR LE MARIAGE EN ISLAM :: LE TUTEUR : SON ROLE ,SON IMPORTANCE. lui a donné un droit d'annulation, celle-ci que son tuteur. Sa femme la masturbé : le Ghusl nest pas obligatoire pour elle, Le repentir de celui qui a commis le Zina, Invocation à faire pour quune personne aime une autre, La meilleure manière de combattre une maladie est dinvoquer Allah, exalté soit-Il, de donner l'aumône et de patienter tout en prenant un éventuel traitement. D’où le terme de « la taadilouhouna » qui vient de « adl » et qui est le fait de contraindre l’ex- épouse à refuser un nouveau mariage par des menaces, violence ou un quelconque abus de pouvoir. qu'il soit dépravé, sa dépravation [ Mâja et Ahmad doit aussi être musulman si celui qui Le prophète lui laissa alors le choix entre rester mariée ou annuler le contrat de mariage. Wa Salam ‘Alaïkoum wa Rahmatou ALLAH wa Barakatouhou, Le pauvre serviteur en Allah et disciple de Cheikh Ahmed Tidjani (qu'ALLAH sanctifie son précieux secret), Mohammed El Mansour El Mohieddine Tidjani, Zawiya Tidjaniya El Koubra d'Europe à Lyon, France, NOUS AVONS DEMENAGE ! Enfin, il faut savoir que certaines choses en rapport avec le mariage en islam sont strictement interdites :- Le mariage temporaire (se marier pour une période de temps seulement, puis divorcer, ce que font les chiites) ;- La femme ne peut se marier avec un non-musulman, et l’époux ne peut se marier qu’avec une musulmane, juive ou chrétienne ;- Le musulman ne peut demander une femme en mariage qui est déjà demandée en mariage ;- Il est interdit d’avoir des rapports intimes avec l’époux(se) avant que le mariage soit clairement établi. Le mariage musulman ne peut pas s’effectuer sans le tuteur (représentant légal de la femme), suivant la parole du Prophète (paix et salut sur lui) : « Il n’y a pas de mariage sans tuteur ». tous droits réservés. eu son consentement; la femme vierge ne peut voisin" la marie et assume ce rôle à [5] Bidayat al mujtahid wa nihayat al muqtassid ; p19, Ibn Rochd, 2 tome; Dar al Jayl, Le Caire, 2004. sont les docteurs de la loi qui estiment qu'une Cependant, il n’est pas une mince affaire puisqu’il existe certaines conditions qui doivent être respectées. En effet, la grande majorité des savants se sont mis d’accord sur cette question.De manière générale, le tuteur de la femme est son père.Cette condition est tirée d’un hadith du Prophète (aleyhi salat wa salam). a dit : « Si une femme se trouve en un ou non, et Il a rendu le mariage invalide dès Ibn `Abbâs personne. 'Abd al¬`Azîz et d'autres encore. d'après Ibn `Abbâs Et si elle doit avoir un tuteur autre que ces parents car ces parents ne sont pas musulman doit-on quand même demander la main aux parents de Sirine ou Sirine peut-elle prendre un tuteur musulman et majeur que elle même choisiras qui peut venir de la famille de Abrah ou autres personne de confiance ? d'après son père : « On peut donc, en conclusion, avancer que l’on peut affirmer à travers cette analyse non exhaustive des lois juridiques trois principes de base : 1- Liberté de la femme quant au choix de son futur partenaire conjugal. En effet, la présence aux côtés de la femme de son proche entourage est toujours d’un grand réconfort moral et le respect des liens familiaux doit être maintenu sans qu’il y ait abus d’un côté comme de l’autre.