Et en faisant un double diplôme avec l'ENSMA ça peut le faire ? A titre d’exemple, voici quelques conférences proposées récemment : « Turboréacteurs civils futurs, les enjeux » (Michel Dessaulty), « Les structures composites dans les missiles stratégiques » (Nicolas Couroneau), « Histoire de l’aviation » (Philippe Jung), « Bientôt ingénieur » (Gérard Laruelle), « Simulations de crashes et d’impacts appliquées à l’hélicoptère » (Alice Vagnot), « Déchets nucléaires et gestion de crise » (Pierre Barber)…. L’ingénieur Supméca est reconnu par les entreprises pour ses compétences en ingénierie numérique, tant en conception qu’en modélisation et simulation des systèmes complexes (mécaniques et mécatroniques). Il s’agit pour l’étudiant de suivre les enseignements d’une des écoles appartenant à ces réseaux. savoir communiquer. Et vous allez clairement en prendre plein les yeux ! Je n'arrive vraiment pas à me décider ! Par jujuoel dans le forum Orientation après le BAC Réponses: 7 Dernier message: 10/04/2009, 07h25. assumer les nouvelles fonctions de l’ingénieur. Le CNAM et l’ISAE-ENSMA s’associent pour mettre en place une formation ingénieur aérospatial en apprentissage. Plus d’infos sur le site du CNAM Nouvelle Aquitaine, Téléport 2 – 1 avenue Clément Ader BP 40109 – 86961 Futuroscope Chasseneuil Cedex Tél. 4 Special Nights : les jeux de lancement de la PlayStation 5 font leur show sur Twitch ! Dans la formation, la place importante donnée à la pédagogie participative et à l’expérience internationale prépare le futur ingénieur au fonctionnement par projet et à la réalité industrielle. jeuxvideo.com est édité par Webedia. ENSIAME (filière méca énergétique) ou SUPMECA ? alliant une formation théorique rigoureuse à une expérience technologique approfondie. The situation and the declarations are changing from hour to hour. Normalement oui, puisque l'ensiame (comme supméca et l'ensma) fait partie du réseau polyméca qui propose ces doubles diplômes. ENSIAME (filière méca énergétique) ou SUPMECA ? A cette occasion, deux nouvelles écoles ont rejoint le groupe en qualité de partenaires : l’EIGSI et ELISA Aerospace. Les groupes, d’une quinzaine d’élèves accompagnés d’enseignants chercheurs, très souvent guidés au sein de l’entreprise par des anciens de l’école, découvrent à la fois les métiers, l’organisation et la vie de l’entreprise, et les fonctions, tâches et responsabilités des ingénieurs. Merci ! Le but est d’ouvrir la formation dispensée à l’ENSMA en direction du monde industriel. ENSMA ou SUPMECA ? SUPMECA (Saint-Ouen et Toulon) : matériaux et procédés ... en 2011, bénéficie de l’expérience et de l’expertise conjointe du CNAM et de l’ISAE-ENSMA avec une ambition : s’affirmer comme la formation de référence d’ingénieur par apprentissage pour le secteur aéronautique et spatial. Mais supméca est plus reconnue que l'ensiame, d'où mon problème. Depuis sa création en 1948, Supméca forme des ingénieurs en mécanique associant une solide base scientifique à une véritable expérience industrielle. INSTN (CEA Saclay et Cadarache) : génie atomique, IAE (Poitiers) : master d’administration des entreprises, IIT (Chicago, USA) : mechanical and aerospace engineering, OSU (Columbus, USA) : aeronautical and astronautical engineering, ETS (Montréal, Canada) : mechanical and aeronautical engineering, UFU (Uberlandia, Brésil) : aeronautical engineering, ESI (Séville, Espagne) : mechanical and aeronautical engineering, EIAE (Madrid, Espagne) : aeronautical engineering, Polytechnique Milan (Milan, Italie) : aerospace engineering, Polytechnique Turin (Turin, Italie) : aerospace engineering, Università degli studi di Napoli Federico II (Naples, Italie) : aerospace engineering, Cranfield (Cranfield, Royaume-Uni) : aerospace engineering, Institut Polytechnique de Hanoi (Hanoi, Vietnam), Institut Polytechnique de Ho Chi Minh ville (Ho Chi Minh, Vietnam), NUAA (Nanjing, Chine) : aeronautical engineering, SIAE (Tianjin, Chine): aeronautical engineering, ENAC (Toulouse) : systèmes électroniques – informatique et trafic aérien – techniques aéronautiques, ISAE-SUPAERO (Toulouse) : systèmes avioniques – systèmes embarqués – systèmes énergétiques – systèmes d’information et de la décision – systèmes spatiaux, ENSIAME (Valenciennes) : informatique industrielle et productique – mécanique énergétique – mécatronique, ENSMM (Besançon) : mécanique – mécatronique – matériaux et surfaces – microtechniques – optronique et microsystèmes, SUPMECA (Saint-Ouen et Toulon) : matériaux et procédés – systèmes de production – structures et ensembles mécaniques – conception de systèmes mécaniques – mécatronique – systèmes complexes, ENSIL-ENSCI (Limoges) : matériaux et procédés – ingénierie et procédés, ENSTA Bretagne (Brest) : systèmes embarqués – hydrographie et océanographie – architecture des véhicules – architecture navale – matériaux énergétiques – gestion des organisations, ENSEIRB-MATMECA (Bordeaux) : électronique – informatique – mathématiques et mécanique – télécommunications – réseaux et systèmes d’information – systèmes électroniques embarqués, SeaTech : génie maritime – sciences des données, information, systèmes – innovation mécanique pour systèmes durables – matériaux, durabilité et environnement – modélisation et calculs, fluides et structures – systèmes mécatroniques et robotiques. Formation approfondie en 3e année avec 4 parcours : Pédagogie par projet au cœur de la formation : Projet d’ingénierie mécanique en première année, 3 stages au cours du cursus pour une durée totale de 12 mois, 80% des diplômés bénéficient d’une expérience internationale, 3 années de cycle ingénieur par apprentissage après un Bac+2, La moitié du cursus se déroule en entreprise, Les cours, travaux pratiques et projets se déroulent au CFA et à Supméca, Chaque apprenti est suivi par un maître d’apprentissage.