Selon Cicéron, il existerait quatre Vénus différentes : Les amours de Vénus et du mortel Anchise donnèrent naissance au héros troyen Énée, par la suite considéré comme un héros latin car il est le fondateur légendaire du Latium et par conséquent, il serait l'ancêtre des Romains et en particulier de la Gens Julia. Le thème vénusien est un grand favori, et des topiques comme celui de la naissance de Vénus, ou Vénus anadyomène sont variés à l'infini (le tableau de Botticelli étant sans doute son instance la plus célèbre). Elle porte aussi les surnoms de Kharis («la grâce») et Kale («beauté»). - à Pergamon, dans la chambre d‘Attalos, se trouvent des images de Kharites toujours faites par Boupalos et près de l‘endroit appelé Pythion, se trouve un portrait peint par Pythagore, le Parian ; - à l’entrée de l’Acropole, il y a des images des Kharites et des Mystères étaient célébrés en leur honneur ; - dans le temple d’Héra à Mycènes, Argolide, à l’entrée, se trouvent des statues de deux Kharites et sur la couronne de la statue d’Héra, avec des Kharites dessus ; - à Hermione, dans l’Argos, se trouve une temple des Kharites ; - à Epidaure, en Argolide, les Kharites faisaient partie des dieux préférés des habitants avec les Dioscures, les Moires et Asclépios, on peut par conséquent penser qu’il y avait un temple, un autel ou une représentation quelconque ; - à Sparte, se trouve des sanctuaires dédiés aux Kharites, au Dioscures et à Ilithye ; - dans la ville d’Amyklai, sur le trône où est assise une statue d’Apollon, se trouvent des représentations des Kharites et d’Artémis. Elle porte aussi les surnoms de Kharis («la grâce») et Kale («beauté»). Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Icélus, le dieu des rêves ayant pour sujet des oiseaux, des animaux ou des monstres, Les Hespérides, déesses du soir et gardiennes du jardin des Hespérides. Dieux et déesses. Dans les années 1960, le thème vénusien renoue avec les problématiques de la féminité repensées dans le vif de l'actualité, et en particulier dans le contexte de l'émancipation de la femme. C'est le thème de la fécondité qui semble encore l’emporter sur celui de la sexualité. Le sanctuaire se trouvait hors des murs de la ville selon la raison alléguée que « les passions inspirées par la déesse doivent être tenues loin des adolescents et des mères de famille »[4]. On lira par exemple chez Michael Maier : « On l'appelle aussi Cypria comme si elle était préposée à l'airain cyprien[8]. Pour la recherche moderne, le nom de la déesse est un ancien neutre abstrait, passé au féminin, dont le verbe uenerari (uenerare) est dérivé[2],[3]. [...]”, — Énéide, chant V, traduction de Jacques Delille. Aglaé a une homonyme : Aglaé, femme du roi Abas et mère d’Acrisios, futur grand-père de Persée. L'analyse par les historiens de l'art de la figure vénusienne privilégie le traitement esthétique et psychanalytique du désir libidinal (plus ou moins contraint ou libéré) qui symboliserait la violence de la société par rapport à la représentation du corps physique[15], d'abord dans son extériorité et ses rapports au corps social et parfois dans son intériorité et ses rapports au corps médical (par exemple à travers la Vénus des Médecins)[16]. - à Poessa, ville de l’île de Khéos, se trouvait un siège sur lequel étaient représentées les Kharites ; On les représente souvent nues portant des couronnes de fleurs dans les cheveux. Elle est présente dans les scènes des « amours des dieux » inspirées des Métamorphoses d'Ovide, comme celle peinte par Paul Véronèse vers 1562, qui la montre aux côtés de Mercure, présentant leurs enfants Éros et Antéros à Jupiter (Musée des Offices à Florence)[12]. Dans sa Somme de perfection, l'alchimiste Pseudo-Geber consacre deux chapitres détaillés à « Vénus ou le cuivre »[9]. J.-C., le dictateur Fabius Maximus ordonna un temple qui fut construit sur le Capitole et dédié à « Vénus Érycine » (Venus Erycina), étant désormais considérée comme la libératrice de Rome contre les Carthaginois. (@shesfarrout) on Instagram: “Monday rituals | #shesfarout source: we heart it”, Découvrez ce diaporama et partagez-le à vos amis, 838 Likes, 4 Comments - ɴᴇᴡs ʙᴘ | (@newspalvin.es) on Instagram: “#NEW: Barbara for Aimer ✨ . À la fille des mers à craindre mes états : Si c'est la Vénus déesse de l'amour qui est privilégiée, elle est parfois traitée en corrélation (souvent sur le mode du conflit moral) avec la figure chrétienne de Marie, par exemple dans l’œuvre de Boccace. Sous Auguste, elle devient la protectrice officielle de la dynastie[5]. En art contemporain, à des appropriations relativement classiques de la figure de l'Aphrodite de Cnide, mêlées parfois aux avancées du réalisme du XIXe siècle (par exemple la Vénus russe de Boris Koustodiev en 1929), s'ajoutent des réinterprétations de type naïf, comme dans Le Rêve, d'Henri Rousseau (1910), qui reprend la topique de la Vénus à la coquille, ou des réinterprétations par les nouvelles techniques picturales de l'impressionnisme, du cubisme, ou encore du fauvisme comme dans la Naissance de Vénus de Raoul Dufy (environ 1940) – le motif de la Vénus anadyomène revient à plusieurs reprises chez Dufy, ainsi que sa variante la Vénus à la coquille. Anciennement, uenerari n'est employé que pour exprimer une attitude de l'homme envers les dieux, plus précisément l'« effort pour charmer, pour capter la bienveillance du dieu ; uenerari, c'est tâcher de plaire »  au dieu dont on espère, en retour, une autre forme de gentillesse, sa uenia. ». Comme son pendant Aphrodite, Vénus est sortie de l'écume de la mer ». On lui octroie les principaux attributs de la déesse grecque : le miroir et la ceinture magique (le ceste) – qu'elle prêtait parfois à Héra pour raviver l'amour de son époux volage – (où étaient renfermées les grâces, les attraits, le sourire engageant, le doux parler, le soupir le plus persuasif, le silence expressif et l'éloquence des yeux) étaient un cadeau de mariage de Jupiter.